Bien qu'étant payant, le site permet une connexion via un simple SMS.
La débauche de sexe tous medias confondus nous fait comprendre à quel point cette société a rompue avec ses valeurs. L'échec des parents n'est plus à prouver, celui de l'éducation à l'école n'a plus à s’inquiéter de l'avenir des enfants, Internet s'en est chargé.
Malgré les multitudes de signalements, auprès des gouvernements, des politiciens, des différents journaux qui nous censurent sans cesse, rien ne change, le chaos règne en maitre sur internet et a pris la place de la neutralité.
Si le nouveau gouvernement Français fraichement élu veut prouver qu’il incarne le changement social, il faudra bien qu’il mette en place une police d’internet qui censure et bloque les accès aux sites web, forums, réseaux sociaux et blogs sur internet non conformes à la loi Française.
Si ce n’est pas possible, il faudrait au moins un service d’état qui scrute internet 24h sur 24 et qui publie une liste de sites douteux ou prohibés qui, en liaison avec un logiciel de filtrage personnel (contrôle parental et/ou pare feu), empêcherait l’accès à ces sites sur l’ordinateur familial ou personnel.
Quelques initiatives privées existent déjà mais restent trop confidentielles.
Au lieu de cela, le précédent gouvernement a crée Hadopi qui ne fait que protéger les droits et surtout le porte monnaie des multinationales contre le piratage informatique. Le comble, c’est que Hadopi doit aussi protéger les contenus pornographiques légaux si leurs ayants-droits ont leurs « œuvres » piratées…..
Article 227-24
Modifié par LOI n°2011-267 du 14 mars 2011 - art. 5
Modifié par LOI n°2011-267 du 14 mars 2011 - art. 5
Le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu'en soit le support un message à caractère violent ou pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine ou à inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger, soit de faire commerce d'un tel message, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende lorsque ce message est susceptible d'être vu ou perçu par un mineur.
Lorsque les infractions prévues au présent article sont soumises par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle ou de la communication au public en ligne, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables.
Article 227-24 du code pénal
Cordialement, l'administration.